Vous décidez d’avance dans votre démarche
La Fédération ENSEMBLE vous informera de l’existence éventuelle d’une association ENSEMBLE près de chez vous pour nous aider dans nos actions humanitaires.
Elle vous communiquera les coordonnées des responsables locaux qui prendront contact avec vous.
Dans le cas contraire, elle pourra, si vous le désirez, vous adresser des documents d’information que vous distribuerez à vos connaissances de façon à trouver une ou plusieurs personnes susceptibles de se joindre à votre démarche.
La Fédération ENSEMBLE pourra, ensuite, vous appuyer dans la constitution de l’équipe en organisant une conférence publique avec des projections de films sur le Sahel, la vie des Dogons, les dernières missions sur le terrain et les dernières réalisations.
Elle vous aidera aussi à organiser cette réunion en vous adressant des affiches, des flayers ainsi qu’un article à adresser aux journaux locaux pour annoncer cette manifestation.
Si cette réunion débouche sur la constitution d’un groupe de quelques personnes prêtes à s’investir pour un village au Sahel (qui a demandé de l’aide et dont une mission sur le terrain a validé la nécessité de l’intervention), tous les papiers nécessaires (statuts types, …) vous seront fournis par la Fédération afin de vous faciliter les démarches administratives souvent fastidieuses et contraignantes.
Voilà, une « grande aventure » peut commencer.
Adressez une demande d’informations complémentaires en détaillant vos motivations
Réponses à des questions souvent posées
En France, plusieurs dizaines de groupes, dans des villes, des villages, des quartiers se réunissent et font des actions pour réunir l’argent pour financer les projets du village du Sahel qu’ils accompagnent dans son développement.
Comment font-ils ?
Chaque groupe est inventif et, comme dans chaque association, les idées sont nombreuses… et la Fédération est là pour les aider.
Faut-il beaucoup d'argent ?
Tout est relatif, dans un village de 800 personnes : avec 300 € on finance un micro crédit pour 40 femmes; avec 750 €, le début d’une coopérative agricole pour toute la population (le bâtiment pour stocker les céréales est à la charge des habitants qui doivent finir de le construire pour recevoir les premiers financements) ; avec 12.000 €, une école de 3 salles de classes en dur (le village doit aider le maçon dans tous les travaux et faire les briques en ciment, les femmes doivent amener l’eau et beaucoup de projets avoisinent les 1000 €… ce qui est énorme dans un pays où le revenu de certains habitants ne dépasse pas 45 € par an.
Quels échanges peut-on avoir ?
Des courriers s’échangent, des contacts se créent. Les enfants des écoles s’adressent des dessins et des petits mots. Certains instituteurs se sont même pris au jeu.
Mais le courrier est transmis uniquement par les missions car il n’y a pas de distribution dans les villages que nous aidons… et, par ailleurs, très peu de gens savent lire.
Peut-on aller dans notre village ?
C’est possible pour les personnes qui participent à la vie des associations mais uniquement en accompagnant une mission.
En effet, les conditions sont très difficiles avec plus de 40 ° à l’ombre, les villages aidés sont très éloignés des axes routiers et difficiles d’accès; il faut souvent 2 ou 3 heures de 4×4 pour faire 20 km… il n’y a pas de cartes, pas de panneaux. De plus, pratiquement personne ne parle français, d’où la nécessité d’être accompagné de notre permanent qui connaît les différentes langues du Pays.Par ailleurs, les conditions d’hygiène sont souvent très précaires.
Il faut noter que nous sommes tous bénévoles et que les frais du voyage sont à la charge des participants.