La plupart des villages aidés par ENSEMBLE ne disposent que de 10 à 15 % de terres cultivables. Tout le reste est constitué de rocher ou de sable.
Avant « l’hivernage », toute la population (ainsi que les personnes parties en exode et qui sont revenues) plante le moindre espace cultivable en mil, nourriture principale en pays Dogon.
La récolte est tributaire des aléas des pluies, plus ou moins espacées, et aussi, des invasions de criquets (Criquet pèlerin ou « Sauteriaux » le plus souvent)
Pour palier cette fatalité, ENSEMBLE a mis en place des Coopératives Céréalières et lance un programme de Maraîchage par goutte à goutte.